Acheter ou non aux États-Unis : là est la question trois couples nous disent ce qu’ils en pensent
Publié le 23 juillet 2018 • 6 min de lecture
Si vous séjournez fréquemment aux États-Unis, vous avez peut-être déjà pensé y acheter une propriété.
Que vous ayez pesé le pour et le contre des milliers de fois ou que vous commenciez à y songer, il est important de tenir compte de votre situation, de vos intérêts et de vos liquidités.
Nous avons demandé à trois couples les raisons qui les ont poussés à acheter ou à louer une propriété aux États-Unis.
Un couple de retraités accumule des souvenirs de famille dans sa maison de l’Arizona
Robert et Dana ont acheté une maison en Arizona peu de temps après avoir pris leur retraite à 55 ans. En tant qu’enseignants participant à un généreux régime de retraite, ils ont pu prendre leur retraite tôt et acheter une maison près de Phoenix après l’avoir louée pendant quelques hivers.
Quand on leur a demandé pourquoi ils avaient choisi d’acheter, ils nous ont expliqué ce qui avait facilité leur prise de décision :
Pour nous, acheter vaut le coût. Nous avons vécu des expériences et créé des souvenirs qui n’auraient pas existé si nous avions simplement loué une copropriété pendant l’hiver.
Comme dit Dana : « Comme nous prenions une retraite hâtive, nous savions que nous passerions de nombreuses années à voyager aux États-Unis et à y séjourner l’hiver. Nous avons envisagé cet achat comme un investissement à long terme. Et comme Robert continuait de tirer des revenus d’une entreprise, nous avions encore une source de liquidités. Nous savions que nous pouvions assumer les coûts de la maison sans avoir à toucher à notre épargne.
Vient s’ajouter à cela le fait que nous utilisons la maison à de nombreux autres moments que l’hiver. Comme notre fille est enseignante, elle nous visite avec ses enfants chaque été. Nous avons aussi passé des vacances en famille en Arizona, et presque chaque mois, des parents ou des amis utilisent la maison. Donc, pour nous, acheter vaut le coût. Nous avons vécu de formidables expériences et créé des souvenirs qui n’auraient pas existé si nous avions simplement loué une copropriété pendant l’hiver. »
Des retraités qui aiment voyager constamment
Gloria et Richard se rendent eux aussi aux États-Unis chaque hiver. Mais étant des globe-trotteurs, ils n’ont pas l’intention d’acheter une propriété.
Gloria explique : « Nous ne retournons pas souvent au même endroit. Certaines années, c’est la Floride ; d’autres, la Californie. Nous sommes partis parfois pendant deux ou trois mois, et parfois pendant quatre semaines seulement. Nous aimons aussi aller en Europe chaque année. Pas question de nous priver de ce voyage annuel pour assumer les coûts d’une maison. Nous ne voulons pas d’attache. Nous voulons explorer. »
Une copropriété plutôt qu’un chalet : des professionnels occupés utilisent leur maison en Floride pour échapper à l’hiver
Nicholas et Tina sont propriétaires d’une copropriété en Floride depuis plusieurs années. Pour ces professionnels très occupés et actifs, acheter une propriété aux États-Unis était la meilleure solution :
Le principal avantage d’acheter une propriété était de pouvoir y laisser nos effets personnels. Quand nous nous y rendons, nous n’avons pas besoin de tout apporter, puis de tout rapporter au Canada.
Comme Nicholas l’explique : « Plusieurs raisons sont à l’origine de notre décision d’acheter. D’abord, nous aimons vraiment la chaleur et l’activité physique. Nous voulions aussi un endroit accessible. Le principal avantage d’acheter une propriété était de pouvoir y laisser nos effets personnels. Quand nous nous y rendons, nous n’avons pas besoin de tout apporter, puis de tout rapporter au Canada. De plus, nous avons un chien, et nous en aurons toujours un. Il pourra toujours nous accompagner pour de longs séjours, chose qui ne serait pas nécessairement possible avec une propriété louée.
« Pour nous, la Floride n’est pas une destination de vacances, mais plutôt un deuxième chez-nous quand nous en avons assez de l’hiver. Ce n’est toutefois pas pour tout le monde. Il faut vraiment s’assurer que l’on est prêt à assumer cette dépense. En fin de compte, c’est comme un chalet : vous devez être sûr d’aimer la propriété et l’endroit. Ne voyez pas votre copropriété comme un placement, mais plutôt comme un endroit où passer du bon temps en famille. »
Si vous pensez acheter ou louer une propriété aux États-Unis, il est important de tenir compte de votre style de vie et de vos liquidités.
Acheter une propriété aux États-Unis vous semble la bonne solution ? Le processus n’est pas aussi difficile que vous pourriez le penser. Voici pourquoi :
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Des services hypothécaires transfrontières vous permettent, dans certains cas, de tirer parti de votre dossier de crédit et de votre relation bancaire au Canada pour obtenir un prêt hypothécaire aux États-Unis. Ainsi, vous évitez certaines complications.
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Les maisons aux États-Unis sont généralement moins coûteuses que celles au Canada et les taux d’intérêt hypothécaires y sont encore relativement bas.
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Si, par la suite, la valeur de votre propriété aux États-Unis augmente, vous pourrez refinancer votre hypothèque pour libérer des liquidités que vous pourrez utiliser pour réaliser d’autres objectifs. De plus, comme les taux aux États-Unis sont relativement bas, le moment est bien choisi pour emprunter.La décision d’acheter une propriété aux États-Unis dépend de vos besoins particuliers. Si vous décidez d’acheter, renseignez-vous. Cherchez un courtier immobilier et un prêteur hypothécaire qui comprennent les défis uniques que représente l’achat d’une maison aux États-Unis pour les Canadiens, et envisagez bien tous les aspects de la transaction afin de profiter au maximum de vos séjours au sud de la frontière.
Une présentation de RBC BankMC U.S.
Nous aidons les Canadiens à acheter des propriétés dans les 50 États.
RBC Bank désigne RBC Bank (Georgia), National Association (« RBC Bank »), une filiale américaine en propriété exclusive de Banque Royale du Canada. Elle est membre de la Federal Deposit Insurance Corporation (« FDIC ») des États-Unis. Les comptes de dépôt américains sont assurés par la FDIC jusqu’à concurrence du montant maximum prévu par la loi. Les produits et services bancaires américains sont offerts par RBC Bank. Les produits et services bancaires canadiens sont offerts par Banque Royale du Canada. Les comptes de dépôt américains ne sont pas assurés par la Société d’assurance-dépôts du Canada (« SADC »).
RBC Bank, prêteur équitable.
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