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Semaine nationale de l’accessibilité : testez vos connaissances sur les obstacles à l’accessibilité

Par Amanda Reaume

Publié le 3 novembre 2023 • 8 min de lecture

Un monde plus accessible est un monde plus inclusif.

Comment s’exprime l’accessibilité ? En milieu de travail, elle passe par des aménagements réalisés avec enthousiasme, sans que les employés aient à faire des pieds et des mains. Dans la collectivité, c’est un événement qui met à notre disposition des services d’interprète, des toilettes accessibles ou des options de participation à distance. L’accessibilité, c’est également prendre le temps de s’informer sur le handicap d’un ami afin de mieux l’intégrer.

La Semaine nationale de l’accessibilité, qui aura lieu cette année du 28 mai au 3 juin, est une excellente occasion d’imaginer et de bâtir un monde accessible. RBC s’est associée à la Fondation Rick Hansen, organisme qui a pour mission de sensibiliser les gens à la réalité des personnes handicapées et d’éliminer les obstacles auxquels elles se heurtent, pour contribuer à faire de ce monde une réalité. Une étape importante en ce sens consiste à distinguer le vrai du faux.

Voici six énoncés qui vous permettront de tester vos connaissances !

Vrai ou faux : « Personne ayant une incapacité » est le bon terme à utiliser.

VRAI : Les idées fausses et les croyances dépassées sur les personnes handicapées sont des obstacles majeurs à l’inclusion.

Exemples : croire que les personnes aveugles ont une déficience cognitive et ne peuvent occuper la plupart des emplois des personnes non handicapées, ou croire qu’une boîte de nuit n’a pas besoin de rampes d’accès parce que personne en fauteuil roulant n’a intérêt à aller danser.

Il est important de remettre en question les idées reçues sur les handicaps et d’explorer les préjugés inconscients qui peuvent affecter injustement les autres. Cette démarche peut favoriser la mise en place des mesures nécessaires pour susciter des changements durables et bâtir une société véritablement inclusive.

Vrai ou faux : Les stéréotypes sur les personnes handicapées sont les plus grands obstacles à l’inclusion.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Vrai ou faux : Améliorer l’accessibilité ne profite qu’à un petit groupe de personnes.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Vrai ou faux : L’accessibilité se traduit principalement par des rampes d’accès et des salles de bains plus spacieuses.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Vrai ou faux : Bien souvent, les stratégies de diversité, d’équité et d’inclusion n’incluent rien concernant les handicaps.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Vrai ou faux : Les travailleurs handicapés sont souvent moins compétents ou moins productifs que les travailleurs non handicapés.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Vrai ou faux : L’absence de personnes handicapées à un événement signifie que ces dernières n’avaient pas envie d’y participer.

CELA DÉPEND : Le langage relatif aux handicaps évolue, et chaque personne handicapée a ses propres préférences. Si vous n’êtes pas sûr, posez la question !

Par exemple :

Ces deux façons de désigner les personnes handicapées réfèrent à des modèles différents de handicap. Un de ces modèles considère que le corps est ce qui limite la personne handicapée. Par exemple, le handicap pourrait être l’incapacité de marcher. Le langage axé sur l’identité d’abord, pour sa part, est davantage en concordance avec ce qu’on appelle le modèle social du handicap, point de vue selon lequel l’incapacité de marcher n’est pas réellement ce qui « handicape » une personne. C’est le fait qu’il n’y ait pas de rampes ou d’ascenseurs dans tous les bâtiments. Dans un cas, c’est le corps qui rend le monde inaccessible et, dans l’autre, c’est le monde qui est inaccessible

Quel est votre résultat ?

Ce questionnaire vous a-t-il permis d’apprendre des choses ? Ou peut-être de confirmer ce que vous saviez déjà ? Quoi qu’il en soit, rendre le monde plus accessible peut être bénéfique pour vous, vos proches, vos collègues et votre collectivité. Chaque petit geste contribue à bâtir un avenir plus accessible.

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 Image de la bannière : Avec l’aimable autorisation de la Fondation Rick Hansen

Le présent article vise à offrir des renseignements généraux seulement et n’a pas pour objet de fournir des conseils juridiques ou financiers, ni d’autres conseils professionnels. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais nous ne garantissons pas leur exactitude et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive des sujets abordés. Les opinions exprimées reflètent le jugement des auteurs à la date de publication et peuvent changer. La Banque Royale du Canada et ses entités ne font pas la promotion, ni explicitement ni implicitement, des conseils, des avis, des renseignements, des produits ou des services de tiers.

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